Les aventures de Maud

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il y a 13 ans

Les aventures de Maud Ce texte a été diffusé sur des groupes d'écriture qui ont tous été détruits par yahoo. Maud ne se seraient jamais douté de sa vrai personnalité même si, avec le recul, elle devait reconnaître que l´attirance qu´elle avait eue pour lui ne s´expliquait pas autrement.

Elle l´avait connu comme son chef de département, chaleureux, sur de lui, réussissant dans le domaine difficile de la finance internationale. Elle était amoureuse de lui mais n´avait jamais osé lui avouer ouvertement. Lui ne voyait rien ou ne voulait pas voir. En dépit de sa timidité héritée de sa famille bourgeoise, elle avait porté devant lui des tenues trop suggestives pour son âge et pour son milieu. Certes à trente ans, petite et mignonne comme elle l´était, elle pouvait se permettre ces petites robes hypermoulantes qui faisaient ressortir ses fesses cambrées et ses petits seins naissants. Mais, même lorsqu´elle s´asseyait sur son bureau, dégageant ainsi ses cuisses fines mais fermes au point qu´elle-même en rougissait, il ne voyait rien...

C´est donc avec d´autant plus d´étonnement qu´elle découvrit l´attirance qu´il éprouvait et l´expérience qu´il avait dans le dressage et la domination des jeunes femmes. Il aborda le sujet tout naturellement un soir, après le dîner bien arrosé qui avait suivi une longue journée de travail.

Elle ne savait plus trop où elle en était et lui avait fait des avances plus qu´à l´ordinaire :

-sais-tu à quoi tu t´engages avec moi. Je ne suis pas un compagnon ordinaire. Si tu veux que nous allions plus loin, il faudra que tu te voue corps et âme. Sais-tu ce que cela signifie ?

-je suis prête à t´appartenir

-je ne veux pas simplement te baiser. Je n´y éprouve qu´un plaisir fade, je te veux comme esclave ou pas du tout !

Il lui expliqua qu´il la désirait à sa disposition, ouverte quand il le souhaitait, exhibée quant il le souhaitait, humiliée quand il lui ordonnerait. L´alcool, l´excitation, la fatigue, poussèrent Maud à vouloir aller plus loin.

-laisse passer une nuit, je recueillerai ton consentement demain à 9 heures. En toute lucidité. Si tu es toujours volontaire dégage ta journée !

Il la planta là, étourdie, avec la pointe de ses petits seins dressée sous sa robe et sa vulve en feu. Elle rentra chez elle en taxi, autant vexée qu´excitée au point qu´elle ne put s´empêcher de se masturber sur le trajet de retour.

Elle eut pourtant beaucoup de mal à s´endormir...

A neuf heures pile, le téléphone sonnait. C´est cela qui lui fit se remémorer la conversation de la veille :

-es-tu prête à être mon esclave Maud ?

-oui

Elle n´avait même pas réfléchi. Le consentement était venu du plus profond d´elle-même. Aussitôt elle regretta. Mais n´osa pas le dire.

-Prends ta voiture et ton téléphone portable. Prends trois jours de congés, débrouille-toi.

  • Prends l´autoroute du sud, je te rappelle.

A dix heures elle reçut ses instructions : se rendre au petit village de Croissy en Vexin, là d´autres instructions lui seraient données.

Au long de la route sa curiosité l´emporta sur toute angoisse. Un chaud fourmillement irradiait de sa vulve quand elle arriva sur la place du village. Elle était vide, le petit village triste était déserté pour les travaux des champs. Elle venait à peine de se garer sur le parking que le téléphone sonna :

  • mets-toi nue, traverse la place et prends la valise qui se trouve derrière la fontaine. Tout de suite !

Un frisson la prit : elle était dans la nasse ! Trop tard pour reculer.. . Un sentiment de défi l´envahit : et pourquoi pas ! Elle fit glisser sa robe. Le moment ou elle défit son soutien gorge fut plus difficile. Non pas que sa poitrine en eut besoin : Ses seins étaient ceux d´une adolescente et n´avaient besoin de nul soutien, mais les exhiber étaient difficile. Même sur la plage et même lorsqu´on on s´était moqué d´elle parce qu´elle était seule à rester en bikini, elle s´y était toujours refusée. Ses seins, elle les considérait comme la part la plus tendre, le plus intime de sa personne.

Elle l´enleva, les pointes dardèrent immédiatement, petites boutons roses qui grossirent démesurément par rapport à la taille des seins. La culotte tomba.

Elle sortit de la voiture. Personne sur la place, quelque part, il devait la regarder. De cela elle était fière. Elle s´avança, pieds nus sur le macadam froid. A peine avait-elle parcouru quelques mètres qu´elle se rendit compte qu´elle ne s´était jamais sentie aussi vulnérable.

Soudain une vieille femme apparut. Elle ne semblait pas la voir. Maud pressa le pas. Elle arriva à la fontaine, vit la valise. Une voiture surgit au loin, elle se rapprochait à vive allure. Maud saisit la valise et se mit à courir. Elle n´était pas habituée à courir nue (elle ne savait pas alors qu´il faudrait qu´elle s´y habitue !), ses petits seins ballottaient, ses fesses tremblaient.

La vielle l´aperçut, la fixa, éberluée. Elle lui cria quelque chose. Maud n´entendait rien, elle courait de plus belle, la voiture arrivait, la croisa, freina brutalement : à l´intérieur quatre jeunes l´interpellèrent...Elle s´engouffra dans la voiture et démarra en trombe. Ils la suivirent quelque temps puis abandonnèrent. Le téléphone sonna :

-je ne t´avais pas dit de courir. Ca commence mal !

Elle qui attendait des paroles de réconfort fut blessée. Ne se rendait-il pas compte de ce qu´il venait de lui faire faire ?

  • Arrête-toi au km 13 et attends-moi !

C´était une route bien droite traversant un grand champ. Elle s´arrêta sur un emplacement dégagé. Cinq minutes plus tard, la Mercedes qu´elle connaissait bien la rejoignit.

-sors de la voiture que je te voie.

Elle descendit et se plaça face à sa voiture. Fière, bien droite. Ses tétons s´étaient à nouveau durcis. Elle le provoquait. Après tout c´était la première fois qu´il la voyait nue.

Il sortit de la voiture, il portait un grand manteau. Il s´approcha d´elle, la regardant droit dans les yeux. Puis son regard descendit, se fixa sur ses seins, puis sur sa chatte, puis sur ses seins à nouveau. Elle le fixait elle aussi, elle le provoquait sentant que, malgré elle, son ventre pointait en guise d´invitation. Il tourna autour d´elle...

SSSCHLAC ....

Une douleur fulgurance lui zébra les fesses.

SSSCHLAC...

De nouveau la douleur, elle cria

Il lui fit face et instantanément la cravache cingla ses seins. Un mamelon fut touché, elle se plia en deux et se mit à pleurer doucement.

-debout, tiens-toi droite !

Elle se redressa :

-je veux t´esquinter l´autre

A toute vitesse il cingla son sein droit et, à son tour l´autre mamelon fut touché au point qu´elle eut la conviction qu´il était fendu. Elle se plia de nouveau puis se redressa de suite. Déjà, elle obéissait !

-Tu es belle. Je vais me régaler. Peut-être toi aussi y prendras-tu du plaisir...

-Maud, tu as vu un avant goût de ce que je peux te faire. Mon amour est celui ci : il passe par ta souffrance.

Je pourrai t´exhiber nue devant des dizaines de personnes, je pourrai te percer les bouts de seins, je pourrai t´enfermer dans une cage, le ventre ouvert par un gode dont tu n´imagine même pas la taille.

Et pour ça, je t´aimerai.

A tout moment tu auras la possibilité de refuser. Il suffira de dire " stop ". J´arrêterai immédiatement et ce sera définitivement fini entre nous.

Maud, consens-tu à être mon esclave docile ?

Nue, le corps déjà zébré, une goutte de sang perlant d´un de ses tétons, bien droite dans le froid, le regardant dans les yeux, et comme dans un rêve elle laissa échapper :

oui SSSCHLAC ! de nouveau le bout de sein

-répète !

-Oui, dit-elle d´une voix plus ferme cette fois

SSSCHLAC ! Le même sein. Cette fois ci le sang coulait du bout du téton

-oui ! Cria-t-elle.

Il la prit alors dans ses bras, la réchauffa. De ses lèvres chaudes il apaisa ses bouts de seins par une succion douce. Bientôt le sang s´arrêta de couler.

Il lui dit alors de s´habiller avec le contenu de la valise : mini jupe de cuir, bas fins, chemisier transparent laissant apparaître ses petites aréoles rougies, chaussures à talons très hauts (il lui dit qu´elle s´y habituerait).

Il l´amena alors dans une petite auberge de campagne où il la réconforta d´un petit déjeuner en même temps qu´il lui expose ce qui seraient désormais ses règles de vie.

-Tu connais ces règles :

-obéir en toute circonstance

-baisser les yeux

-ne pas pleurer, ne pas crier si mon maître me l´interdit même en cas de souffrance extrême

-ne pas porter ni culotte, ni soutien gorge, sauf ceux que t´ordonne ton maître...

Effectivement, elle les connaissait pour les avoir lues dans des romans. Mais elle n´imaginait pas qu´elle devrait se les appliquer à elle-même...Toutefois elle ne savait pas si elle frissonnai de crainte ou de désir...

Pendant qu´elle prenait ses ordres, elle sentait le regard de la serveuse sur son chemisier, ou plutôt sur ce qu´on voyait en transparence. En effet, à la lumière le vêtement laissait voir la peau nue, à peine teintée par le voile du chemisier. Elle ne faisait que passer et repasser, lorgnant tour à tour sur ses seins et sur ses cuisses largement découvertes au point que la chair était visible au-dessus de mes bas. Sous son regard elle sentit ses bouts se durcir. Il ne tarda pas à s´en apercevoir.

-ouvre ton chemisier ! Dégage tes pointes de seins !

Elle obéit et échancra ce qui n´était pourtant qu´un voile pour dégager ses bouts de seins.

La serveuse, qui faisait semblant de s´affairer en face d´elle rougit quand Maud soutint son regard. Elle imaginait ce que cette jeune femme, comme elle, pouvait penser, se voyait affublée des qualificatifs de putain, de salope...C´était ce qu´elle était en train de devenir et elle en était fière.

-Viens, allons-y

En se levant, elle fit le geste de fermer quelque peu son chemisier pour couvrir sa poitrine. Il l´en empêcha du regard et l´obligea même à bien dégager ses seins. Le bar de l´auberge s´était rempli et elle dut passer devant tous ces regards concentrés sur ses seins. Son maître, très décontracté, était content de l´exhiber. Sans même y réfléchir, elle en fut fière et redressait son torse pour faire saillir sa poitrine trop menue.

Dès qu´ils furent sortis, il lui dit :

-très bien, je suis fier de toi. Visiblement ils se sont régalés.

Il prit une pointe de seins entre ses doigts, la pinça au point de la faire gémir :

-il faudra que je les développe. Tes petits seins d´adolescente me plaisent bien mais il faut que je te fasse grossir les bouts pour qu´ils pointent en permanence même quand tu n´es pas excitée...Il consulta sa montre... je peux même te faire faire ça tout de suite !

Dans la voiture, il lui expliqua qu´il avait un ami qui savait faire cela. Rapidement ils rejoignirent Orléans. Aux feux rouges les conducteurs des voitures arrêtées à leur côté lorgnaient sur les seins de Maud. Bien sur, il n´était pas question qu´elle referme son chemisier.

Ils s´arrêtèrent enfin devant un immeuble cossu : Dr Blanchet chirurgien. Maud frémit :

-maître, j´ai peur !

-je m´en moque ! Mais il n´y a pas de quoi. Juste une petite piqûre !

Le docteur Blanchet, à qui il avait téléphoné en cours de route les reçut immédiatement.

-c´est pour cette jeune poulette, je suppose !

Il écarta et fit descendre son chemisier.

-Effectivement, elle en a bien besoin !

Il ne la regardait même pas, la considérait comme une vague animal.

-Je serais toi je m´occuperai aussi des seins dans leur entier, ils sont trop petits. C´est joli quand ils pendent un peu et c´est plus facile pour jouer avec !

-Non, je les aime bien menus. Occupe-toi simplement des bouts.

-Comme tu veux !

Il emmena Maud vers une table d´obstétrique sur laquelle il l´installa.

-tu voudras la faire percer plus tard ?

-sûrement, mais je ne me suis pas encore décidé

-Bon, je vais donc les mettre à bonne taille

En même temps qu´il lui parlait, il fixait Maud sur la table d´obstétrique. Rapidement, elle ne pus plus faire le moindre mouvement. Elle jetait des regards épouvantés à son maître, espérant encore pouvoir attendre de lui du secours. Lui, ostensiblement feignait de l´ignorer.

-Anesthésie ? dit Blanchet

-sûrement pas ! répondit son maître

Blanchet se saisit alors du bout de son sein droit avec une pince et l´introduisit dans une sorte de tube au bout duquel il fixa un tuyau. Il mis en route une sorte de petite pompe qui étira son bout de sein au point de lui donner une longueur de deux bons centimètres dans le tuyau. Jusqu´à présent ce n´était pourtant pas très douloureux. C´était donc ça ?

Il se saisit alors d´une seringue et s´approcha de Maud. Elle se raidit et, plus fort qu´elle, elle hurla. Avant même que le cri soit sorti de sa bouche, son maître l´étouffa de sa main et aussitôt la gifla.

Blanchet s´interrompit alors et revint avec une boule de caoutchouc (une " poire d´angoisse "apprit-elle plus tard) qu´il lui fixa dans la bouche à l´aide d´une sangle.

Sans se préoccuper d´elle il pris la seringue et froidement il enfonça l´aiguille dans son bout de sein. Ce fut une douleur horrible, indicible, fulgurante.

Très calme, il appuya alors sur le piston de la seringue, très doucement et un liquide lourd et visqueux s´introduisit dans son téton. Elle souffrait affreusement, hurlait sous son bâillon, aurait voulu beugler comme une bête.

L´opération dura au moins une minute, puis, enfin, il retira l´aiguille et le tube d´un coup sec. Son bout de sein était turgescent, affreusement douloureux. Il le prit alors entre deux doigts et le malaxa pour faire se répandre le liquide. Maud avait le sentiment qu´il était en feu, alors même qu´elle le sentait grossir, la douleur se répandait dans tout son sein.

Blanchet se recula alors pour juger de l´effet :

-" ça ira ! ". Dans quelques heures le liquide se sera expansé et ton joli petit bout de sein sera très présentable !

puis s´adressant à son maître :

-il fera dans les deux à trois centimètres de long et un et demi de diamètre. Ce sera très joli.

Bon, à l´autre !

Elle raidit aussitôt: c´était insupportable ! Blanchet, resserra les courroies.

Le même rituel se reproduisit avec le sein gauche. Si ce n´est que Blanchet dut piquer deux fois, Maud ayant bougé quand l´aiguille avait pénétré le téton.

Une fois qu´elle fut dégagée de ses liens, son maître la fit mettre debout pour juger de l´effet : ses deux bouts de seins étaient déjà gonflés, turgescents. En dépit du fait que des larmes couraient doucement sur le visage de Maud, ou peut-être pour cela , elle était très excitante. Ainsi, même quand elle n´aurait aucune stimulation, ses bouts de seins demeureraient développés et raides comme au comble de l´excitation.

Il lui remis son chemisier et, effectivement, on pouvait nettement distinguer l´érection des deux tétons à travers le fin tissu.

Brusquement Blanchet souleva sa jupe. Il écarta des doigts sa toison pubienne, puis les lèvres pour mettre en valeur le petit capuchon du clitoris :

-Pourquoi ne fais-tu pas de même avec ce joli petit bout ? Il mérite d´être développé !

Le maître acquiesça. Effectivement, pourquoi pas ? Un brutal frisson parcouru l´échine de Maud : Pas ça !

Elle hurla et seule une bonne paire de gifle put la calmer.

Aussitôt dit, elle fut renversée sur la table, fixée dans une position lui écartant bien les cuisses et l´opération recommença. Lorsque l´aiguille pénétra dans son clitoris, Maud poussa un cri animal que même le bâillon n´étouffa pas. Elle bougea de nouveau et Blanchet, là encore du piquer à deux reprises. Il pestait d´autant plus que la toison pubienne très fournie de Maud le gênait.

-C´est convenu dit le maître, dès notre retour, je la ferai toiletter et raser.

De nouveau Maud fut exposée nue pour qu´on juge de l´effet. Celui-ci fut jugé satisfaisant. Blanchet demanda à prendre quelques photos pour sa collection. Le maître lui accorda bien volontiers. Dès qu´ils furent sortis, le maître dit à Maud :

-Blanchet est un vieux salaud. Tes seins et ton clitoris tout gonflés font se balader sur le net et dans tous les sex-shop du coin !

Il avait l´air de trouver ça amusant. Il l´embrassa alors très tendrement et lui dit :

-tu acceptes toujours ?

Elle baissa la tête pour cacher ses larmes et opina. Oui elle acceptait !

Les aventures de Maud 02

MAUD SORTIE EN SOCIETE

Deux jours plus tard, il l´appela :

-Maud, ma petite esclave, je te sors ce soir. Nous sommes invités à dîner chez des amis. Rien que de très conventionnel.

Au fond d´elle-même, Maud était rassurée. Ses bouts de seins étaient encore très douloureux. Elle supportait mal le soutien gorge qui avait tendance à les comprimer mais, même quand elle n´en portait pas ses bouts turgescents s´accommodaient mal du frottement du moindre tissu ; Aussi n´avait-elle guère envie qu´ils soient tourmentés à nouveau.

Elle accepta donc.

-ma tenue ?

-un peu sexy, c´est tout.

Quand il vint la chercher, il la trouva à son goût : chemisier de soie noire léger mais sage, boutonné jusqu´au cou, mini jupe en strech noire également. Par contre elle savait qu´elle n´avait pas le choix des chaussures et des bas : Noirs, talons très hauts, bas à jarretelles.

Elle avait du mal à s´habituer aux talons hauts, elle qui adorait courir en mules légères, mais progressivement sa démarche devenait plus assurée.

Il la toisa, caressa la nuque, apprécia que ses cheveux châtains soient coupés si court, dégageant le cou long et fin et les oreilles si charmantes.

Elle enfila sa courte veste de fourrure et le suivi. Il ne put s´empêcher de la laisser passer pour admirer sa ligne et, au passage, de passer sa main sous la jupe pour flatter ses fesses fermes et cambrées.

Le trajet pour aller chez les X ne fut pas très long, bientôt, la Mercedes franchissait la grille d´une belle propriété de Neuilly.

L´intérieur chaud et moderne accueillait déjà trois couples dont les X. Une petite bonne les introduisit rapidement auprès des maîtres de maison.

Marlène était une belle femme, élancée, d´une cinquantaine d´année au regard sévère qui vous fouillait au plus profond dès le premier contact. Henri, très gentleman, avait le regard plissé et souriant de ceux qui savent profiter de tous les plaisirs de la vie.

Les autres couples, du même âge environ, paraissaient très représentatifs de la bourgeoisie de l´Est parisien, telle que Maud se la représentait.

A table, Maud fut placée à côté du maître de maison, face à Marlène et à son maître.

Le repas fut joyeux, animé. Comme toujours son maître était brillant, sachant illustrer ses propos d´exemples puisés dans une culture classique dans laquelle il semblait avoir toujours baigné. Les autres convives, également se montraient joyeux et familiers. Une ou deux fois Maud remarqua que le convive à la droite de son maître la dévisageait en souriant, mais d´une manière qui la mettait mal à l´aise. C´était un homme assez âgé, au front largement dégarni, arborant sur son veston une rosette de décoration. Il la fixait en souriant et donner l´impression de l´estimer sous toutes ses coutures.

A plusieurs reprises il s´entretint avec le maître à voix basse. Ou du moins, de telle manière que Maud ne pouvait entendre ses paroles, d´autant que sa voisine de gauche, une femme assez forte, à la poitrine opulente, ne cessait de lui parler de ses préoccupations scolaires de sa progéniture.

Soudain la voix de son maître se fit entendre :

-Maud enlève ton chemisier, mon ami Jacques veut voir tes seins !

Maud rougit violemment. Elle était comme paralysée ;

-Tes bouts de seins qui apparaissent sous ton chemisier si sage intriguent mon ami. Je lui ai expliqué l´opération que je leur ai fait faire, mais nous apprécierons mieux les résultats de visu.

Ote ton chemisier !

Si le visage souriait, le ton était dur. Sans appel.

Empourprée, Maud cherchait du secours du regard. Tous et toutes la fixaient maintenant. Aimablement ils attendaient qu´elle s´exécute. Les hommes avec délectation, les femmes avec un brin de cruauté pour l´humiliation que Maud subissait.

Lentement, tout en restant assise, elle s´exécuta, déboutonnant d´abord la douzaine de petites pressions qui fermaient le vêtement jusqu´au cou, puis, avec courage, ôtant le chemisier. Elle demeura assise, bien droite, baissant instinctivement les yeux comme il lui avait appris à le faire, exposant sa petite poitrine à ces personnes qu´elle ne connaissait pas et qui la jugeaient autant qu´ils appréciaient ses volumes mammaires.

Le silence s´était fait.

Les regards convergeaient vers ces seins menus nantis de bouts démesurés, comme si elle était au comble de l´excitation, alors qu `elle n´était que frayeur et que honte.

-Superbe ! , S´exclama Jacques. Que leur avez-vous donc fait faire ?

Le maître expliqua l´opération avec autant de détachement que lorsqu´on présente le ferrage d´un cheval ou la castration d´un boeuf.

Les yeux des femmes s´agrandissaient d´horreur :

-Ma chère comme vous avez du souffrir ! Sans anesthésie !

Le maître ne la laissa pas répondre :

-elle aime cela, et moi aussi.

Jacques s´adressa alors à sa femme, l´opulente voisine de Maud :

-ma chérie, voilà ce que je voudrais te faire. Tes seins sont bien volumineux mais tes tétons et tes bouts sont minuscules. Montre !

-Bien qu´un peu gênée mais visiblement habituée à ce genre d´exhibition, elle s´exécuta, extirpant d´énormes mamelles d´un chemisier de coton blanc.

Les deux femmes, la grosse et la liane qu´était Maud, étaient ainsi exposées côte à côte.

Chacun s´accorda à dire à la poitrine de la dame d´un certain âge mériterait bien le traitement qu´avait subi Maud. Et les uns et les autres de comparer les avantages mammaires ainsi exposés. Un convive demanda même au maître de se rendre compte en tâtant, ce que le maître accepta bien évidemment. C´est ainsi qu´il se leva et vint tâter les bouts de seins de Maud qui se mordait les lèvres pour ne pas hurler, l´opération ne datait en fait que de trois jours et les tétons étaient extrêmement douloureux, surtout lorsqu´il les pinça sans ménagement :

-superbes, on sent bien que ce n´est pas du collagène, ils sont gonflés mais très souples !

Vexée, la grosse dame referma son chemisier, affirmant que, elle, elle n´était pas une putain et qu´elle se demandait bien comment " cette fille " pourrait un jour allaiter.

Le maître répondit que, pour l´instant, il n´envisageait pas de la faire couvrir.

Maud esquissait le geste de se rhabiller lorsque le maître lui dit :

-reste ainsi nue ! D´ailleurs, nous avons bientôt terminé. Je veux leur montrer ce que tu es capable de faire !

Le repas se termina ainsi, Maud exhibant ses seins, chacun reprenant ses conversations, à l´exception de ceux et de celles qui, par instants, jetaient un regard furtif sur cette poitrine si menue, à la peau si fine, aux seins si fragiles ornementés de cette excroissance de chair aussi démesurée qui persistait à demeurer dressée. Seule Maud, profondément humiliée restait silencieuse et baissait la tête.

A la fin du repas, Henri proposa de passer dans le salon.

Celui-ci était vaste et circulaire, il devait sûrement servir parfois de salle de spectacle privée. Le plafond était sombre et haut, la salle étant simplement éclairée de manière intime.

Au fond un feu de bois brûlait dans une immense cheminée antique.

Henri proposa un jeu. Il s´agissait de répondre à des questions. Les perdants auraient un gage.

Chacun applaudit. Même Maud, toujours seins nus, voulait croire que la soirée allait se terminer normalement. Le maître intervint alors :

-très bien, mais pour s´amuser encore mieux, je vous propose une variante. Quand l´un de nous perdra, il fera subir le gage à Maud. Nous pourrons ainsi découvrir l´étendue de ses possibilités.

La variante fit l´unanimité. Seule Maud frissonnait, craignant le pire.

Le jeu commença et, très vite, l´un des invités perdit. Ce fut la grosse dame aux seins développés. Elle regarda alors Maud et ses yeux devinrent perçants. Maud pâlit.

-voyons cette petite putain qui aime tant montrer ses seins ! Déshabilles toi entièrement. Garde tes chaussures et tes bas et viens ici.

Maud fit glisser sa jupe et retira sa petite culotte de soie.

Elle s´avança ainsi, seulement vêtue de ses bas noirs, de son porte-jarretelles et de ses chaussures aux talons démesurément hauts. Ceux-ci creusaient ses reins, cambraient les fesses et faisaient ressortir les deux globes charnus et fermes ainsi que la poitrine aux bouts dressés.

.

La dame, Maud appris par la suite qu´elle s´appelait Véra, s´était armée d´une cravache qu´Henri lui avait complaisamment fournie.

Elle demanda à Maud : dis-moi deux chiffres de un à dix !

Maud répondit, au hasard :

-cinq, et huit.

-très bien ! Ce sera donc cinq pour ton corps et huit pour tes seins, qui visiblement excitent beaucoup les mâles ce soir. On verra s´il leur plairont encore après.

Puis s´adressant au maître :

-vous permettez,

-bien sur ma chère. Cela lui fera beaucoup de bien !

Véra fit alors le tour de Maud, appréciant la tendresse de la chair, cherchant les endroits les plus fragiles, les plus sensibles. Ses yeux se plissaient et lui donnaient un regard mauvais.

La cravache s´abattit sur une fesse, puis immédiatement sur l´autre. Le claquement de la cravache avait été sec. Maud ne put retenir un cri perçant et long.

Henri se précipita alors pour la bâillonner.

Véra tournait toujours autour d´elle. Deux coups cinglèrent brusquement les cuisses de face. Surprise Maud se rejeta en arrière écartant ainsi bien involontairement les jambes. La grosse dame n´attendait que ça. Elle avait visiblement l´habitude de la flagellation et le savoir-faire d´une fouetteuse expérimentée. D´un large coup de bas en haut, elle cingla le sexe ouvert de Maud. Le fouet claqua contre la chair intime de la jeune fille, le cuir sciant les lèvres béantes. Maud ne put retenir un long beuglement sous son bâillon et s´effondra alors par terre en se recroquevillant en chien de fusil. Des larmes coulaient à flots. Deux hommes se précipitèrent pour la relever.

Maud était maintenant debout, jambes écartées, maintenue les bras ouverts par deux convives.

Visiblement le maître se régalait de la voir ainsi exposée et de faire plaisir à ses amis !

Dès lors Véra s´acharna. Elle cingla à la volée la menue poitrine de Maud, les seins fragiles. Elle visait bien sur les bouts si provocants et dont elle avait été rendue aussi jalouse. Elle ne cessa que lors qu´elle les eut atteints tous les deux, de la pointe de sa cravache, là où la chair est la plus sensible, bien au-delà des huit coups promis, mais personne n´y trouvait rien à redire.

Essoufflée, elle baissa enfin le bras et reposa la cravache. Maud, de son côté, bien que fermement soutenue, s´effondrait à nouveau de douleur.

Pendant qu´on l´étendait toujours nue sur un canapé quelqu´un suggéra qu´on punisse à son tour Véra pour sa cruauté. C´était Marlène dont le regard dur qui avait tant marqué Maud à son arrivée témoignait plus de son intérêt à punir Véra qu´à sa volonté de faire justice. L´assistance applaudit et le mari de Véra ne fut pas le dernier.

On déshabilla alors prestement la grosse dame en dépit de ses protestations et de ses cris et on l´installa debout sur une table afin de réfléchir à ce qu´on allait lui faire.

On pouvait ainsi la contempler à l´aise.

Il est vrai qu´elle était généreuse de formes. Les seins, les hanches, les fesses, tout était largement dimensionné mais la chair était ferme et la graisse discrète. Seule un léger embonpoint la trahissait. Mais elle était néanmoins honteuse de sa nudité et essayait, tant bien que mal, en serrant les jambes en particulier de dissimuler ce qui pouvait l´être. Jacques protesta et il fut ordonné à la femme non seulement d´ouvrir les jambes mais encore d´écarter avec ses doigts sa toison pubienne horriblement fournie et ses grandes lèvres pour bien montrer son sexe.

Il fut convenue qu´elle serait punie par où elle avait péchée.

On la fit donc mettre à genoux devant une petite table où l´on étala ses seins énormes. Chaque convive fut alors invité à leur appliquer cinq coups de cravache sur chacun d´entre eux, en ordonnant à Véra de compter les coups.

Le supplice fut difficile à mener jusqu´au bout, elle braillait comme une truie, suppliait (ce qui ne provoquait que des rires), on dut l´attacher. Elle faillit perdre connaissance une fois, lorsque la chair de son sein gauche rougit à un point tel qu´on crut qu´il allait éclater. On continua pourtant, y compris sur le sein gauche que Marlène, quand ce fut son tour, s´amusa à châtier plus particulièrement...

A la fin on laissa Véra étendue par terre, aux bons soins de son mari, pendant que les autres prenaient les liqueurs avant de finir la soirée.

Maud, toujours étendue sur le canapé avait tout suivi. Mais dans son regard, on ne lisait ni de la compassion, ni de la satisfaction de voir sa rivale punie. Mais un peu de jalousie de n´avoir pas été traitée, aussi et en plus, de cette manière.

Son maître qui l´observait à la dérobée avait compris cela.

Il suggéra de continuer le jeu.

Marlène déclara alors de manière péremptoire qu´il ne fallait pas oublier " les deux salopes " et décida de les exhiber en attendant la prochaine épreuve.

Des poulies jusque là dissimulées dans l´obscurité du haut plafond descendirent. Des cordes permirent alors d´assujettir les deux femmes, côte à côte, les bras écartés et tendus vers le haut. Nues toutes deux, elles faisaient face à l´assistance. Elles se retrouvaient ainsi dans la situation qui avait été la leur durant le repas, lorsqu´on avait voulu comparer leurs poitrines.

Mais maintenant elles n´avaient plus ce regard de fierté qu´elles arboraient quelques heures plus tôt, surtout Véra.

La grasse et la fluide se côtoyaient, l´une avec ses gros seins tombant, l´autre dressant bien malgré elle ses petits tétons pointus. L´une arborant une vilaine trace violette au sein gauche, l´autre montrant un corps entièrement zébré au fouet, l´une avec sa chevelure défaite, l´autre avec son jeune crane presque rasé. Les larmes marquaient encore leurs joues, leurs traits pourtant si différents reflétaient la fatigue et la terreur. Véra, si sure d´elle, aux jugements péremptoires (elle était pédiatre), qui étalait son ventre et ses seins avec honte ; Maud, la jeune juriste dynamique et impertinente qui souffrait autant de ses seins que des regards qui s´appesantissaient lourdement sur ses tétons pointus et ses cuisses fuselées.

Le jeu reprit.

Cinq minutes plus tard, c´est Marlène qui eu le gage. Nul ne douta qu´elle l´ait fait exprès. Surtout pas Véra qui la connaissait et craignait sa cruauté.

Marlène se leva, s´approcha des deux victimes et les toisa, détaillant chaque pouce de leur corps. Soudain son visage s´illumina :

-ces salopes sont poilues comme des chiennes ! Il faut les débarrasser de ça !

C´est vrai qu´aussi bien Maud que la grosse Véra étaient bien fournies en toison. L´une comme l´autre étaient garnies d´une belle fourrure. Celle de Véra remontait haut sur le ventre ;

C´est par elle que Marlène commença.

Alors que la grosse couinait doucement, ignorante de ce qui allait lui arriver, Marlène se saisissait d´un briquet. Approchant doucement la flamme elle passa rapidement sur les poils. Aussitôt ceux-ci s´embrasèrent et se recroquevillèrent. Véra hurlait. Une affreuse odeur de poulet grillé se répandit dans la pièce.

Marlène fit plusieurs passages rapides au point que bientôt il ne resta plus qu´une petite longueur de poils. A chaque passage, la chaleur se fit plus intense.

Bientôt les brûlures commencèrent. Véra hurlait de plus belle pour le plus grand plaisir de l´assistance, surtout de Marlène, animée d´un sourire sardonique. Le mari de la grosse lui, avait passablement bu et souriait d´un air béat.

Une minute plus tard plus un poil ne subsistait. Les lèvres apparaissaient glabres, mais affreusement rougies. Le ventre de Véra se tendait et se détendait au rythme de sa respiration haletante, des lèvres béantes suintait un peu de liquide...

Marlène pesta : le briquet était brûlant. Véra pleurait en gémissant doucement.

Le regard de Marlène se posa ensuite sur Maud. Cette dernière était tétanisée, les yeux hagards, la bouche sèche.

Cette fois ci Marlène, sur la suggestion d´un convive, se saisit d´un cigare, dont elle élimina soigneusement la cendre et le manège recommença sous les cris perçants et les vaines supplications de la jeune fille. Parfois le bras de Marlène dérapait et le bout ardent du cigare effleurait le ventre de Maud qui hurlait de plus belle.

Là encore en quelques minute, le jeune ventre de Maud fut lui aussi nu. Les lèvres fines étaient enflées, le sexe était ouvert, béant, comme dilaté.

Marlène admirait son travail quand elle poussa un cri :

-Regardez-moi le clito de cette poufiasse !

Effectivement, des lèvres écartées par les boursouflures émergeait le clitoris de Maud, ce clitoris que trois jours plus tôt son maître avait fait " travailler ", enfler d´un liquide générant l´expansion et l´érection définitive. Ce clitoris narguait l´assistance, au grand regret de Maud qui n´attendait rien de bon de la surprise de Marlène.

-mes amis, allons nous lui laisser son petit bouton comme cela ? Qui a une idée ?

Les convives commençaient à être fatigués. Peu d´idées émergèrent. Ils n´avaient pas les outils pour opérer le percement du clitoris, le maître ne pouvait accepter son ablation pure et simple...

Finalement Marlène proposa la cautérisation et l´idée fut retenue.

Marlène fixa alors une barre entre les jambes de Maud pour l´empêcher de les resserrer, craignant que " cette salope " gâche la scène. Maud, elle, tremblaient de tous ses membres, espérant vainement encore une fois que son maître stoppe l´intervention. Quand elle cria, supplia, il se contenta de la gifler sèchement.

Marlène reprit le cigare et s´approcha de Maud. Craignant de ne pouvoir opérer avec précision, elle demanda à son mari d´écarter les lèvres de Maud afin de bien dégager le clitoris. Puis elle toucha le petit membre érigé du bout incandescent du cigare.

Un hurlement animal traversa la pièce en même temps qu´une horrible odeur se répandait.

L´instant d´après Maud, suspendue, les jambes écartées sur un sexe béant ou émergeait un clitoris difforme et rougis à l´extrême, semblait sombrer dans l´inconscient, incapable de supporter une telle douleur. Véra, à ses côtés, horrifiée, en oubliait son propre sexe mutilé.

Seule Marlène jouissait d´un travail aussi bien exécuté.

Les liqueurs étaient bues. La soirée finissait. Les deux femmes gisaient par terre. Henri passait un onguent sur leur sexe martyrisé. Des gémissements accompagnaient ses gestes.

Le maître enroula tendrement Maud dans une couverture, l´embrassa sur le front quand elle ouvrit les yeux, il était fier d´elle, elle le savait, elle esquissa un sourire.

Les aventures de Maud 03

MAUD PONY GIRL

Les jours qui suivirent furent consacrés par Maud et son maître à soigner ses plaies et à entretenir son corps. Son maître y faisait très attention, le considérant comme un bien précieux. Il lui passa donc longuement des baumes réparateurs d´origine mystérieuse, assouplissant la peau fine de ses seins, calmant son clitoris encore à vif du traitement que Marlène lui avait fait subir. Durant ces séances, son maître se montrait particulièrement doux et attentionné.

Maud découvrait bien d´autres agréments à son statut d´esclave : elle se sentait déresponsabilisée d´elle-même, femme-objet, disponible et sans autre souci que de plaire à son maître.

Elle avait d´ailleurs démissionné, son maître l´entretenant, dans tous les sens du terme.

A plusieurs reprises il lui avait parlé d´un week-end sportif. Il la savait vigoureuse en dépit de sa petite taille et de la finesse de son corps, rompue à la gymnastique qu´elle exerçait régulièrement quand elle était encore une jeune femme libre, amoureuse de longues courses à pied en forêt. Il lui avait promis de l´amener à un week-end au cours duquel elle pourrait entièrement satisfaire son goût de l´exercice et de la compétition. Néanmoins elle ne put en savoir plus.

Finalement il lui annonça que le week-end prochain ils iraient quelque part en Espagne où se déroulait une compétition un peu spéciale et pour laquelle elle ferait bien de s´entraîner par quelques exercices d´assouplissement.

Lorsque l´avion se posa à Séville elle n´en savait toujours pas plus. Un chauffeur vint les prendre ainsi que leurs bagages et après une bonne heure de route il se retrouvèrent dans une vaste propriété, trônant au milieu de vastes étendues et jouxtant ce qui paraissait être une sorte d´hacienda.

Alors que son maître retrouvait au salon le maître des lieux, un grand espagnol à la fière allure

Et au regard souverain, elle fut conduite par une jeune servante à sa chambre. Tout de suite elle remarqua que la jeune fille portait une chemisier blanc, largement échancré laissant voir ses jeunes seins balotter lorsqu´elle se déplaçait, et une jupette minuscule, descendant à peine plus bas que son tablier de servante découvrant de longues jambes nues sur des chaussures à talons hauts d´au moins huit à dix centimètres avec lesquels elle se mouvait sans aucune difficulté.

La soubrette se présenta (elle s´appelait Dolores, ce qui ne laissait guère de doute sur l´activité de la maison) et l´introduisant dans sa chambre l´invita à prendre un bain et à rejoindre les convives dans le salon dès qu'elle serait prête. Elle ajouta :

-mademoiselle doit savoir qu´elle devra être entièrement nue, bien entendu.

Malgré une première réaction de surprise, Maud ne fut guère étonnée. Elle savait que son maître l´emmenait dans un but bien précis. Aussi, dès qu´elle fut apprêtée, elle se disposa à descendre. Connaissant son maître, elle s´était légèrement maquillée et s´était parée de quelques bijoux discrets qui, ainsi que ses talons hauts, rehaussaient en fait sa nudité. Avant de quitter la chambre elle jeta un coup d´oeil au miroir sur pied pour s´assurer qu´elle était convenable : Son corps était impeccable, ne portait plus la moindre trace des coups et sévices qu `elle avait subis, ses bouts de seins et son clitoris expansés suite au traitement du docteur Blanchet pointaient comme au comble de l´excitation.

Elle plairait à son maître. C´est ainsi qu´elle descendit le grand escalier, fière d´elle, essayant d´oublier que la jeune fille sage qu´elle était il n´y a encore que quelques semaines, exposant ses seins et son ventre nus à quiconque elle croiserait. Un frisson parcouru toutefois son échine quand, avant même de voir, elle entendit de nombreuses voix masculines dans le salon.

Quant elle apparut en haut de l´escalier, le silence se fit et une dizaine d´homme la regardèrent descendre. Ils n´étaient pas seuls, au fond de la salle alignées contre le mur autant de femmes, intégralement nues, se tenaient droites et silencieuses.

Dès qu`elle fut descendue, un homme basané, habillé de bottes et de jeans et que les hommes appelaient José la conduisit à sa place, entre deux autres femmes. Celle de gauche était frêle et paraissait très jeune et baissait le regard. Elle essayait de dissimuler maladroitement de petits seins blanc et ronds. Celle de droite au contraire présentait la beauté épanouie d´une femme mure. Elle était visiblement musclée, ses seins étaient très développés mais aussi très fermes et se tenaient très bien sans nul soutien. Son ventre s´ornait d´un véritable " tablier de sapeur " dénonçant, si besoin était, son origine méditerranéenne.

Quand elle fut en place, José prit la parole :

-Bien, vous êtes au complet.

Si vous ne le savez pas, vous êtes ici dans l´hacienda San Miguel qui est célèbre pour une spécialité : l´élevage et le dressage de femmes-pouliches.

Nous organisons un stage ce week-end à l´issue duquel il y aura une compétition. Vous avez été, toutes les neuf, engagées pour courir et participer aux épreuves.

Maintenant soyons clairs. J´ai dressé beaucoup de femmes-pouliches dans ma vie et je ne tolèrerai pas la moindre incartade de votre part. Désormais, avec l´autorisation de vos maîtres respectifs, vous obéirez aveuglément a tout ordre qui vous sera donné par un humain, homme ou femme appartenant à l´hacienda ou s´y trouvant comme visiteurs. L´usage de la parole vous est formellement interdit. Si cela vous est impossible, nous vous poserons un bloque-langue. Un nom de pouliche vous a été attribué, on vous en informera. Un valet vous est également affecté. Il sera préposé à votre dressage et à votre entraînement, il vous nourrira vous soignera et vous bouchonnera matin et soir.

Je tiens à être assuré que vous êtes consentantes. Que celles qui renoncent avancent d´un pas, elles seront immédiatement raccompagnées dans leur chambre et pourront passer le week-end ici comme invitées et spectatrices si elles le souhaitent.

Un léger flottement affecta le groupe des filles. L´une d´elle, la voisine de Maud, aux petits seins frêles esquissa un mouvement mais finalement se retint. José attendit quelques secondes puis il claqua dans les mains et les valets entrèrent. Ils vinrent se placer devant les pouliches et passèrent à chacune d´elle une corde autour du cou soutenant un petit panonceau de bois ou figurait le nom de la pouliche. Celui de Maud portait le nom de " Elegante ".

-si vos maîtres le désirent nous pourrons vous marquer au fer rouge ce nom sur la fesse ou le ventre. Ils en décideront. Ici nous sommes équipés pour cela.

A ces mots, les jeunes femmes frémirent. Visiblement certains des maîtres, dont celui de Maud, étaient intéressés.

Les valets ne laissèrent pas aux pouliches le temps de réfléchir. Ils leur passèrent prestement une longe au cou et les entraînèrent. Ils sortirent et se dirigèrent vers des box. L´un d´entre eux portait également le panonceau d´ " élégante ", celle-ci et son valet y entrèrent.

De la paille au sol, un anneau au mur, du matériel de brossage et de bouchonnage, des harnais de cuir accrochés au plafond constituaient l´unique ameublement.

Le valet accrocha " Elegante " à l´anneau et entreprit de la brosser énergiquement avec une poignée de paille. Rapidement le sang circula et la peau devint rouge, surtout celle des seins et du ventre sur lesquels il s´attardait particulièrement. Puis il passa l´étrille, bien inutilement car la peau fine de Maud ne le demandait pas, mais plutôt pour la mettre à l´épreuve. Elle cria d´ailleurs lorsqu´il la passa énergiquement sur les fesses et se raidit pour esquisser un mouvement de recul : immédiatement, il saisit la cravache et en asséna plusieurs coups à la volée sur son postérieur rebondi. Elegante compris rapidement qu´elle devrait se taire, subir et obéir.

Le valet retourna la pouliche et lui plia une jambe en arrière qu´il accrocha avec une lanière au plafond pour l´immobiliser. Il lui enfila alors une sorte de chaussure qui enserrait son pied en le maintenant fortement cambré. Si la semelle, de bois ferré, était particulièrement épaisse de cinq à dix centimètres, il n´y avait pas de talon et l´ensemble ressemblait fort à un sabot. Il serra l´ensemble de manière à ce que le pied ne puisse se dégager et lui fit poser son pied à terre et saisit l´autre pour l´agrémenter de la même manière.

Quand Elégante pu poser ses deux pieds elle faillit chuter. Elle était en fait obliger de marcher sur la pointe des pieds, ce qui l´obligeait à cambrer fortement les reins et redresser la poitrine. Sans ménagement il la tira alors et, toujours à la longe, il la conduisit sur un terrain d´entraînement circulaire. Au début Maud avait du mal à marcher mais rapidement elle du reconnaître que pour peu qu´elle adopta la bonne posture, elle pouvait avancer convenablement.

Il se mit au centre de la piste, tendit la longe et

SSSCHLAC ! Armé d´un long fouet il venait de lui cingler les fesses

-trot !

SSSCHLAC !

Elle se mit à courir de manière éperdue, la longe la tira à gauche afin qu´elle tourne à bonne distance du valet

SSSCHLAC !

-J´ai dit " trot "

SSSCHLAC !

Elle compris et se mit à trottiner sur un rythme de plus en plus régulier, ses seins ballottant de droite et de gauche .

Puis ainsi, il lui apprit à galoper, à tourner, à saluer. Elle avait appris vite : un claquement de fouet en l´air : elle prenait le trot. Deux : elle galopait. Un léger coup de fouet sur la gauche (le sein ou la fesse, selon) : elle tournait à droite. Le fouet claquait sur le sein droit : immédiatement elle obliquait à gauche. Le valet levait la longe et le fouet : Elegante stoppait et faisait la belle, tête haute, poitrine tendue en avant, un genou légèrement fléchi.

Au bout d´une heure, elle était épuisée, en sueur, ses muscles des jambes tremblaient d´avoir été trop sollicités. Le valet la laissa enfin souffler.

Durant son entraînement, des maîtres s´étaient approchés et semblaient s´accorder sur le fait qu´elle était prometteuse . Ils s´approchèrent d´elle et l´examinèrent de près : mâchoire, intérieur de la bouche, vagin...Il tâtèrent ses seins pour s´assurer de leur fermeté, il s´amusèrent à pincer les bouts, s´étonnant d´en voir d´aussi énormes pour une poitrine si menue. Ils prirent des paris sur sa réussite dans les courses du lendemain.

A quelque mètres de là cependant, les choses ne se passaient pas aussi bien. Une pouliche en cours de dressage, comme elle, s´avérait rétive.

C´était une rousse flamboyante, grande, élancée, à la poitrine plantureuse, mais qui ,pour l´heure courait à grands sabots pour éviter les coups de fouet qui pleuvaient.

Le valet qui la dressait, voulait lui faire sauter une barrière d´environ une mètre de haut.

La fille avait du mal à courir et à s´élancer en raison de ses sabots qui l´obligeaient à trotter plutôt qu´à galoper. A chaque tentative de saut, elle accrochait le barre de bois et tombait lourdement dans le sable. Le valet la faisait alors rapidement relever à coups de fouet et l´obligeait à recommencer.

Son corps strié de coups de fouet attestait qu´elle n´en était pas à la première tentative.

A la suite d´un nouvel échec, elle s´écroula sur le sol en terre battue et se mit à pleurer doucement, hoquetant, désormais indifférente aux coups qui redoublaient. Soudain, alors que voulant se relever, elle écartait les jambes, le valet en profita adroitement pour cingler son sexe infortunément ouvert. La fille beugla puis soudain s´élança vers le valet en hurlant sa douleur et dans l´intention de le griffer. A peine était-elle sur lui qu´il la maîtrisa d´une clé au bras et la força à s´agenouiller au sol.

La fille comprit alors qu´elle avait commis une faute qu´elle devrait chèrement payer.

Deux autre valets accoururent, l´emmenèrent et la suspendirent par les poignets à une poulie qui se trouvait à quelques mètres de là. Ils la hissèrent ensuite de manière à ce que ses bouts de pieds affleurent le sol sans qu´elle puisse vraiment s´y reposer.

La pauvre fille était morte de peur ; déjà une assistance d´une quinzaine de personnes s´était formée autour d´elle, maîtres, valets et servantes. Elegante, pour sa part, profitait de ce moment d´accalmie pour reprendre son souffle.

Le maître de la rousse s´approcha d´elle, furieux que la fille ait voulu lui résister, humilié devant ses collègues goguenards. Il s´avança devant la fille qui pendait devant lui, un balancement léger reflétait les efforts qu´elle faisait pour toucher terre. Les mouvements qui l´animaient en se débattant faisaient trembler ses seins qui s´épandaient comme des fruits mur, déjà rougis par les coups de cravache. Il prit lentement son élan et d´un geste large et violent il cingla affreusement le ventre de la femme sur lequel immédiatement vint s´imprimer un trait rouge, bien large et bien net qui, rapidement, s´étendit jusqu'à son bas ventre pour aller se perdre dans la toison, rousse elle aussi, et fournie de son sexe. Quelqu´un cria alors :

Tu n´as qu´à la marquer au fer ! Ainsi elle prendra conscience de sa condition de pouliche ! A ces mots la fille se mit à hurler de plus belle, à supplier qu´on l´épargnât, à jurer qu´elle allait faire encore d´autres efforts pour devenir une belle et brave pouliche, mais, de grâce, qu´on ne la marque pas au fer rouge !

On la fit descendre un peu en donnant du mou à la corde qui la suspendait et on lui plaça une barre d´environ un mètre de large entre les deux chevilles afin de lui maintenir les jambes bien écartées et on fixa cette barre au sol afin que la fille ne puisse plus bouger. Pendant ce temps là, deux valets apportèrent un brasero où, du charbon rougi, émergeaient plusieurs tiges...

On courba la fille sur un chevalet où on la fixa. Les jambes bien écartées, les bras retournés et tendus vers le haut par des cordes. Elle hurlait à perdre haleine, elle hoquetait, cela semblait au contraire réjouir l´assistance. Le valet sorti un fer du feu pour voir s´il était à point : il dessinait les deux lettres SM (curieusement) reprenant le nom de l´hacienda. Il l´approcha des fesses de la fille qui se mit à hurler de plus belle. Mais le fer n´était pas assez rouge, la marque n´aurait pas été assez nette car il aurait fallu laisser le fer trop longtemps sur le peau.

Il le remit donc dans la fournaise et actionna le soufflet. Pendant ce temps, la fille tremblait de tous ses membres sans pouvoir bouger d´un millimètre. Seuls les seins, qui pendaient libres, étaient agités de forts soubresauts. L´assistance commençait à s´impatienter, les hommes présents avaient repris leurs conversations courantes en dépit des cris de la fille. Seules les servantes se taisaient, impressionnées ou réjouies qu´elles étaient de voir ainsi asservie et tourmentée une de leurs congénères, issue probablement d´un bon milieu bourgeois, car cela se voyait à ses manières hautaines lors de son arrivée.

Enfin le valet ressortit le fer qu´il trouva, cette fois-ci, rougi à point. Il l´approcha du derrière de la fille qui se mit à beugler et tortiller de l´arrière train pour tenter désespérément de le soustraire au brandon rouge. Un hurlement de goret traversa l´espace. La pouliche se débattait, secouait ses fesses et ses seins pour tenter de se détacher ou peut-être pour essayer de soustraire son arrière train à la chaleur si proche qu´elle en était insoutenable.

Le valet suspendit alors son geste et dit à la pouliche :

-Ton maître ne souhaite pas que je meurtrisse souhaite ta chair, mais il n´hésitera pas si tu te montre incapable d´obéir !

Il la détacha en silence alors que la foule présente marquait sa désapprobation d´une telle clémence, fit claquer son fouet en l´air et instinctivement, la pouliche se redressa. Elle " fit la belle ", comme on le lui avait appris, le visage plein de sanglots, les cheveux collés au front et sur la nuque par les larmes et la sueur . Au deuxième claquement elle démarra, pris son élan et dans un saut élégant et racé sauta cette fois-ci aisément la barrière. Le valet la fit alors venir près de lui, et, à la fois pour juger de la souplesse de la peau et pour marquer sa satisfaction, d´une tape légère, flatta le postérieur de la fille. Finalement, elle apprenait vite !

Elégante, pour sa part, attendait debout, toujours nue, bien sur, que son maître revienne. Elle en profitait pour se reposer, finalement satisfaite de s´être pliée à tous les ordres de son valet. Ce n´est pas, en effet, sans frémissement qu´elle imaginait être à la place de sa pauvre congénère, et avoir à subir le marquage au fer rouge.

Le valet qui s´occupait de son dressage, revenant du spectacle qu´avait constitué le martyre de la rousse, s´intéressa de nouveau à elle, avec, dans le regard, une lueur nouvelle allumée par ce qu´il venait de voir.

Il la tira par la laisse, avec la ferme intention de lui faire subir, à elle, un petit marquage.

Maud se mit à glapir, sans toutefois chercher vraiment à se débattre. Le valet la traîna devant le brasero et entreprit de la fixer à un poteau. En quelques minutes, elle était entravée étroitement, saucissonnée, à tel point que seuls ses seins apparaissaient libres de toute contrainte. Elégante comprit donc immédiatement où le valet avait l´intention de la marquer.

Celui-ci se saisit du fer et l´approcha de son sein gauche. Du doigt, il repéra l´endroit exact, juste au-dessus du mamelon et s´apprêtait à apposer le fer quand le maître d´Elégante le surpris et, d´un seul coup de cravate, le balafra au visage :

-sale porc ! On t´a demandé de la dresser ! Pas de la faire souffrir sans utilité éducative !

Il obligea le valet à détacher la pouliche et à la ramener à son box.

Le valet l´attacha à l´anneau, lui apporta une écuelle remplie d´une nourriture non identifiée et la laissa la pour la nuit, non sans lui avoir laissé entendre que, le lendemain, il trouverait bien une occasion de se satisfaire...

Les aventures de Maud 04

MAUD, POULICHE DE COURSE

Le lendemain, il la réveilla avant même l´aube.

Il la tira vers une grande baignoire centrale ou déjà deux autres pouliches étaient plongées. Il l´immergea complètement à plusieurs reprises, puis entrepris de la brosser énergiquement. Comme la veille, c´est sur les parties les plus sensibles de son corps qu´il insista particulièrement au point que ses seins, son ventre et ses fesses exposaient une chair rougie à l´extrême. Puis, après avoir rempli d´un liquide moussant le vagin de Maud, il la pénétra vigoureusement, et à plusieurs reprises à l´aide d´un écouvillon, semblable à ceux utilisés pour le nettoyage des bouteilles mais d´une longueur moindre. Après avoir rincé, il la retourna pour procéder de même avec son anus. Toutefois, il dut forcer le passage avec son doigt, car l´orifice était trop serré. Néanmoins après plusieurs passages, l´écouvillon circulait bien. Il n´en pesta pas moins en grommelant qu´il faudrait appareiller Elégante pour ménager un orifice convenablement ouvert en permanence.

Puis, la traînant par la laisse il l´emmena à la réserve.

Là une grosse femme habillée d´un tablier de cuir l´attendait.

Elle commença par s´assurer que ses sabots, étaient toujours correctement assujettis et qu´ils ne s´étaient pas déboîtés pendant la nuit. Elle en profita même pour les resserrer encore. Puis elle prépara l´équipement qui harnacherait Elégante, afin, dit-elle en riant, de lui faire mériter son nom.

L´équipement en question se composait d´un ensemble de courroies harnachant le corps de la pouliche, dégageant ses attraits afin, éventuellement, de pouvoir les travailler, et permettant, par une série d´anneaux fixés aux courroies d´accrocher des accessoires.

La femme fit enfiler l´ensemble à Maud. Une fois fixé, le harnachement croisait entre les seins, les faisant ainsi ressortir. Il est vrai que la poitrine de Maud était menue et qu´un tel effet était bienvenu. Il croisait également à l´entrejambe, mais permettait l´accès au sexe ; La femme s´en assura en tirant sur les grandes lèvres de manière à bien les dégager au-dessus des courroies.

Ensuite elle fit pénétrer la " queue ", indispensable à toute pouliche. Non seulement cet appendice avait une qualité esthétique et donnait belle allure à la pouliche, mais encore elle lui permettait d´écarter les mouches par un simple mouvement de l´arrière train, lorsque celle-ci, inévitablement attirées par les secrétions vaginales que provoquaient les efforts en course, venaient tourner autour de son sexe sans que la pouliche, dont les bras étaient généralement entravés, puisse les chasser. Cette queue, faite à partir de cheveux de femme, châtain, pour être assortie à la toison d´Elégante était fixée au bout d´un manche, que la femme fit pénétrer dans l´anus de Maud, après avoir bien séché l´orifice pour qu´il ne ressorte pas, même en cas d´efforts. Par ailleurs, la queue était également maintenue par le harnachement qui passait entre les fesses. La pouliche cria un peu lorsque la femme fit pénétrer le manche, sans ménagement aucun pour l´orifice de la jeune femme, mais une bonne paire de gifles la fit rapidement taire. En effet, elle se souvenait, pour avoir vu la punition infligée à la pouliche rousse hier, ce qu´il en coûtait de désobéir.

La femme fixa ensuite sur la tête de la pouliche une sorte de têtière. Celle-ci était composée d´une courroie horizontale qui enserrait le crâne et à laquelle une courroie verticale était fixée et passait sous le menton pour maintenir l´ensemble. Cette courroie verticale permettait d´assujettir les oeillères qui empêchaient la pouliche d´être distraite lorsqu´elle courrait, et d´autre part, d´accrocher une " poire d´angoisse " qui préservait des cris lorsque cela n´était pas apprécié.

La femme fixa alors les deux bras de Maud serrés le long de son corps par des courroies supplémentaires rattachées aux anneaux et prit ensuite du recul pour juger de l´allure générale de la pouliche.

Il faut dire que celle-ci faisait de l´effet. Avec sa têtière, agrémentée d´un toupet également assorti à sa toison, sa queue fournie, et ses seins pointus dont les bouts, on le sait, avaient été artificiellement expansés.

La femme pesta en regrettant que les bouts ne fussent pas percés et assortis d´anneaux, qui auraient permis d´y fixer les rênes, lors de l´utilisation de la pouliche en trot attelé. Elle dut en effet poser des pinces auto serrantes pour les remplacer. Bien sur la pouliche hurla à en perdre haleine lorsqu´elle les lui posa, mais il était indispensable que ces pinces soient très serrées de manière à ce que les rênes ne se détachent pas du sein au cas où le driver devrait donner un coup sec pour la stopper ou la faire tourner.

Ainsi agrémentée, Maud était prête et le valet alla l´attacher à un arbre en attendant que l´ensemble des pouliches soient rassemblées.

Le soleil s´était levé de puis peu lorsque les pouliches furent rassemblées, après avoir été attachées, les unes aux autres, en file indienne, par leur collier. Elles furent conduites au centre d´une sorte de stade, et alignées devant la tribune où, déjà, se massait une foule de plus d´une centaine de personnes, paysans du voisinage ou invités. La tribune d´honneur était réservée aux propriétaires des pouliches parmi lesquelles, Elégante reconnut son maître.

L´arrivée du petit troupeau fut salué par une salve d´applaudissements, ce qui provoqua une réaction de crainte chez les pouliches qui, pour la plupart, étaient mises en compétition pour la première fois.

Pedro jouait le maître de cérémonie.

Au micro il présenta chaque pouliche en indiquant pour chacune d´entre elle, le nom de son propriétaire, son âge, et ses caractéristiques physiques particulières.

Pour Elégante, il signala son âge, vingt-neuf ans, et le fait que ses bouts de sein et son clitoris avaient été " retravaillés ", ce qui causa un remous de curiosité dans l´assistance. Il souligna également sa musculature fine et racée la prédisposait à la course.

Au fur et à mesure qu´il les passait en revue, un valet inscrivait le numéro de la pouliche a l´aide d´un gros feutre sur le sein et la fesse droite. Maud portait le numéro huit.

Il rappela les enjeux de la compétition et les prix qui seraient remis aux propriétaires des pouliches qui se distingueraient.

Puis commença la première épreuve.

Les pouliches furent amenées dans leur box de départ et, au signe du starter elles s´élancèrent.

Les spectacle étaient enthousiasmant. Il est vrai que les neuf femmes étaient superbes : même si les âges étaient différents, les corps étaient magnifiques et racés. Leur harnachement et leur décoration, les queues qui flottaient au vent, les seins, plus ou moins lourds selon la pouliche, bien exposés du fait que les bras étaient maintenus fixés le long du corps, ballottaient au rythme de leur galop. Les filles avaient fière allure : le fait de courir avec des sabots leur faisait dégager le torse et même si la foulée de certaines d´entre elles n´était pas encore complètement décontractée notamment du manche de leur queue enfoncé profondément dans leur anus, le fait de voir ces femmes aussi soumises et bien dressés excitait visiblement les spectateurs.

Le démarrage de la course n´était pas très rapide. En effet, la longueur à parcourir, cinq tour de piste, incitait les pouliches à ménager leurs forces. Maud, en particulier, habituée dans sa vie de femme libre à faire de la course à pied était en avant dernière position. Bien lui en pris, car à l´issue du premier deux valets capturèrent la dernière afin de lui ficher dans les fesses une sorte de " banderille ",ou d´ " aigrette ", en fait une longue aiguille agrémentée de rubans de couleur. Cette pratique était destinée à stimuler les pouliches et à maintenir une allure rapide. L´effet fut immédiat. La première pouliche ainsi stimulée, une fille blonde à la poitrine particulièrement développée et à l´arrière train lourd, hurla sous l´effet de la surprise et de la douleur lorsque la banderille fut plantée dans sa fesse, mais, accéléra immédiatement et, rubans flottant au vent, seins ballottant à droite et à gauche dépassa ses congénères et vint se placer en deuxième position. Elégante, força également l´allure, et vint se placer en milieu de peloton, si bien qu´au passage devant les tribunes, ce fut la fille rousse, si maltraitée le jour d´avant qui vint récolter l´aigrette. Au troisième et au quatrième tour, ce fut la fille blonde qui vit à nouveau les valets lui planter les banderilles. Les qualités athlétiques de Maud firent qu´elle était intacte. Elle arriva finalement deuxième.

Les filles furent alors alignées de dos afin de montrer leurs aigrettes : la grosse blonde arborait trois aigrettes et pleurait doucement, la rousse une, et une jeune noire au corps pourtant fluide, une aigrette également. Elégante, essoufflée mais intacte dans sa chair, se sentait fière d´avoir honoré son maître par une course réussie.

José annonça alors que conformément à la tradition les récompenses allaient être attribuées :

Les trois dernières pouliches furent appelées et sortirent du rang. Des valets s´en saisirent alors les placèrent au centre de la piste et trois spectateurs furent tirés au sort pour les fouetter durant cinq minutes.

Les volontaires se bousculaient et deux hommes et une femme furent tirés au sort. Sans aucune pitié, ils fouettèrent les filles à bras raccourcis, sans se soucier de leurs cris, qui réjouissaient plutôt l´assistance, et sans manquer de s´attarder sur les parties les plus fragiles de leur corps. Un d´entre eux, la femme en particuliers, concentra exclusivement ses coups sur les seins de la blonde, dont on sait qu´ils étaient particulièrement développés, animée probablement par une sombre jalousie. A l´issue de la séance, les seins de la fille étaient en sang, au point qu´il fallut lui administrer quelques soins à la poitrine pour qu´elle put continuer la compétition.

Puis, ce fut la remise des récompenses aux trois premières. Juchées sur un podium, accompagnées de leur propriétaire, elles se virent décerner des médailles, ou plutôt accrocher des médailles, car celle ci furent fichées dans leurs seins, le ruban et la médaille étant suspendus à une petite aiguille, qu´en parfait maître de cérémonie José enfonça lentement dans la chair fragile des seins des filles. Le nombre de médailles étant proportionnel à la place à l´arrivée, Elégante, (Maud), subit l´accrochage de deux médailles dans son sein gauche, sous l´oeil fier de son maître.

Les pouliches furent amenées dans un enclos afin qu´elles puissent boire et se reposer. Les spectateurs furent invités à venir les voir afin de repérer celles qui leur semblaient en forme. En effet, des paris étaient pris et les enjeux grimpaient vertigineusement pour certaines d´entre elles. Maud était bien placée, première ex-æquo de la cote : Elle avait fait forte impression dans la première course en raison de sa capacité à remonter le peloton des pouliches. De même elle paraissait fraîche en dépit de sa performance précédente. Certes elle n´était pas très grande mais la finesse de sa ligne à la poitrine menue et à la taille fine alliée à une musculature fuselée des cuisses et des mollets semblaient la prédisposer à la compétition.

La deuxième course s´effectuait sur la même distance mais après l´élimination de trois pouliches, le peloton ne se composait plus que de six filles. D´autre part, elle avait pour particularité d´être une course de trot " lesté ". A cette fin, les filles se voyaient accrocher à leurs bouts de seins des poids de deux cent grammes. Ce type de course avait pour objet de privilégier l´ "allure" des pouliches. En effet, les poids ballottant au rythme de la course exerçaient une traction douloureuse sur les extrémités mammaires des filles. Afin de limiter la douleur, ces dernières avaient donc tendance à courir de manière plus coulée, moins violente, en essayant de bouger le moins possible le corps, l´effort portant essentiellement sur les jambes. C´était une course très élégante, agréable aux yeux des spectateurs, mais extrêmement fatigante pour les pouliches

Le système de stimulation était le même, à chaque tour, deux valets étaient chargés de ficher une aigrette dans la fesse de la dernière du peloton. Généralement, l´effet était garanti, la pouliche, hurlant de douleur, faisait un bon en avant et dépassait les filles qui la précédaient. Toutefois, dans cette course-ci, le phénomène était beaucoup plus amusant car la fille ainsi stimulée criait d´abord sous la piqûre, puis quelques secondes plus tard sous la douleur des pinces fichées dans les bouts de seins qui menaçaient de s´arracher sous la traction des poids bringuebalant en tous sens du fait de la brusque accélération. Evidemment, celles qui préalablement avaient été infibulées étaient mieux préparées à cette course, car les poids étaient mieux arrimés aux seins et l´arrachement était moindre.

C´est pourquoi la fille qui gagna l´épreuve avec trois bonnes longueurs d´avance sur Maud était favorisée. C´était une grande noire, complètement rasée, aux seins menus (et donc ballottant peu) et infibulés de gros anneaux d´or. Elle était visiblement faite et techniquement bien préparée pour cette course.

Elégante, de nouveau deuxième, récolta donc deux médailles dans les seins, pendant que comme dans l´épreuve précédente, des spectateurs tirés au sort s´acharnaient sur les trois dernières.

Seules trois filles demeuraient donc en course pour la troisième et dernière épreuve : le trot attelé.

Pour cette course-ci, le harnachement des filles prenait tout son sens. Elles étaient en effet attelées à des sulky légers, montés par leur valet. Les brancards du sulky étaient fixés à leur lanières de ceinture, leurs bras étaient toujours entravés le long du corps mains les mains pouvaient se saisir des brancards. On leur avait disposé leurs oeillères pour qu `elles puissent se concentrer sur la course. Enfin les extrémités des rênes après être passées dans un anneau à la hauteur des épaules étaient fixées à leur seins. Pour Maud sur les pinces, pour les deux autres filles aux anneaux de seins. Ainsi elles pouvaient être guidées de manière fine et précise.

Les attelages avaient vraiment fière allure. Quand les trois sulky firent un tour de présentation au pas devant la foule, celle-ci applaudi à tout rompre.

Le valet de Maud tira alors un ou deux coups secs sur les rênes pour qu´Elégante dresse son torse et salue, ce qu´elle fit de bonne grâce en dépit de la douleur, fière qu´elle était d´être aussi belle devant son maître.

Son valet était un homme grand et lourd. La charge était pénible à tracter, mais après un bon coup de fouet sur les fesses et quelques coups secs des rênes sur les seins, le valet pouvait facilement emballer sa monture.

Ses concurrentes étaient deux femmes noires. L´une d´entre elles était la grande pouliche rasée qui avait gagné précédemment : elle était dotée de longues jambes qui lui donnait une foulée longue. De plus, elle n´était pas embarrassée par ses seins qui étaient petits et fermes. Elle semblait très à l´aise sur ses sabots. Elle réagissait rapidement aux sollicitations de son driver, qui pouvait facilement actionner les seins de la fille du fait de leur infibulation. L´autre était beaucoup plus lourde, voire grasse, mais elle paraissait très puissante et très musclée. Quand elle trottait, ses seins se balançaient de manière ample, ce qui devait la gêner et s´avérer un peu douloureux, ses fesses tremblaient de manière impressionnante, et globalement, la grosse pouliche n´était pas très élégante mais devait être efficace.

Les équipages, après leur tour de présentation, s´alignèrent pour la course finale, puis le départ fut donné !

Maud démarra comme à son habitude en ménageant ses forces. Ses deux rivales par contre partirent très vite, stimulées par leur driver. Rapidement, Maud perdit deux longueurs. Son driver réagit très rapidement : il tira de grands coups secs sur les rênes, martyrisant les pauvres seins de Maud. Heureusement, les pinces étaient bien serrées et solidement ancrées dans la chair des bouts de seins de la pouliche, si bien que même quand le driver tirait fortement, elles ne s´arrachaient pas. Par contre la pouliche ne pouvait retenir des cris de douleur. Ces tractions, associées aux violents coups de fouets qui lacéraient les fesses bien exposées de la fille eurent tôt fait de lui faire accélérer le rythme et prendre l´avantage. Dès lors la course prit un tour frénétique : les driver s `acharnaient pour stimuler les montures, ils s´étaient dressés sur le sulky pour pouvoir plus facilement manier le fouet, se cramponnant aux rênes et s´arc-boutant ainsi terriblement sur les bouts des seins des filles. Ceux de la grosse noire se trouvaient tirés en arrière par leurs anneaux, les bouts affreusement distendus à la limite de la rupture. La fille beuglait mais galopait de plus belle, se cabrant, lorsque le driver, qui ne voulait pas se considérer comme hors-course, donnait un coup sur les rênes.

L´autre fille ne criait pas mais, élancée, rapide et bien drivée par son jockey, elle se rapprochait dangereusement de Maud.

Au dernier tour elles étaient cote à cote, cravachées en permanence par leur driver. Maud sortait la langue pour pouvoir reprendre haleine, ne hurlant même plus lorsque les rênes tiraillaient les seins à la limite de les arracher. La grande noire se déhanchait pour allonger sa foulée. Le public enthousiaste hurlait des encouragements aux jockey, le claquement des fouets se mêlait aux cris de joie des spectateurs ou de douleur des pouliches. Dans les derniers mètres ces dernières firent des efforts surhumains pour gagner, avançant le torse en avant pour gagner quelques centimètres, laissant leurs dernières forces dans cet affrontement.

Elégante passa la ligne d´arrivée avec à peine une poitrine d´avance et finit sur sa lancée au petit galop.

Des valets lui passèrent alors au coup des colliers de fleurs et l´essuyèrent pour la rendre plus présentable avant de la conduire sur le podium. Pendant que le maître de la grande noire se laissait aller à fouetter sauvagement sa pouliche de dépit d´avoir perdu, et que sa grosse concurrente franchissait péniblement la ligne d´arrivée à son tour.

L´excitation était à son comble, le public fit irruption dans le centre du stade pour approcher la belle pouliche que son maître promenait fièrement.

Puis on lui enleva son harnachement pour la remise des prix. Elle fut ainsi mise nue et présentée à la foule, en même temps qu´on lui épinglait sa médaille.

Elle était fière. D´avoir gagné, d´avoir gagné au prix de la souffrance, devant son maître et devant des dizaines de personnes, fière de son corps, fière de sa nudité exposée devant tous, de sa toison luxuriante trempée de sueur, de ses seins pointus vers lequel convergeaient les regards et quelle montrait comme en guise de défi, symbole de beauté et d´indépendante soumission.

Très rapidement on montra pour elle de la considération. Sa victoire lui conférait un nouveau statut, fruit des épreuves affrontée avec succès.

Elle fut reconduite à sa chambre avec désormais les égards dus à une " dame ".

Le soir, elle fut le centre de la réception, invitée d´honneur. Elle qui avait été ravalée au rang d´un animal, humiliée, mise à nu, battue, sodomisée, portait ce soir là une robe longue en lamé griffée Saint-Laurent, dont le col la couvrait très haut et dont seule une fente montant à mi-cuisse découvrait un peu de chair rare.

Son maître la promenait parmi la foule des invités en tenue de gala. Les hommes étaient très empressés autour d´elle. Seules les femmes n´osaient réellement l´approcher et lui réservaient une sorte de déférence comme si la somme de souffrances et d´humiliation qu `elle avait publiquement subi la recouvrait d´une curieuse aura de respectabilité.

Dans les jardins, à quelques mètres de Maud et du reste des invités, on avait parqué les autres pouliches. Nues, mais lavées et bouchonnées, elles se remettaient de leur fatigue et léchaient leurs plaies, dans l´indifférence distante des convives qui les considéraient de loin, en sablant leur champagne.

Ainsi se terminait un week-end initiatique.

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